C’est une note de service sortie au sein du service de réanimation et des soins intensifs à l’hôpital Universitaire d’Ibn al Jazzar. Cette dernière montre la situation alarmante des hôpitaux publics. Voilà où nous en sommes aujourd’hui !
Les actes opératoires et anesthésiques ainsi que tous les actes à froid ont été arrêtés. En effet, vu l’absence d’une eau courante adéquate depuis 2 semaines au sein du service, il existe un risque d’hygiène.
Qui se soucie des malades?