« J’appelle à convertir une partie ou la totalité des dettes de la Tunisie envers la Belgique en investissements dans des projets de développement », a lancé le président de la République, Moncef Marzouki, dans un discours prononcé hier après-midi, mardi 1er avril, à la Chambre des députés belge à Bruxelles.
Le remboursement de nos dettes, argumente le président, coûte à la Tunisie une somme équivalente à celle destinée au développement local. Et d’ajouter : la Tunisie attend de l’Europe, et de la Belgique en particulier, plus que des promesses et des intentions d’aide.