Lors de la couverture de la célébration de la fête du Travail à l’avenue Habib Bourguiba, le matin du 1er mai, 20 journalistes auraient agressé par le service d’ordre affilié à l’UGTT.
Le Syndicat national des journalistes tunisiens ( SNJT ) a fermement condamné ces agressions et appelé l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) à présenter des excuses officielles aux journalistes et à ouvrir une enquête sérieuse concernant ces agressions.
Le SNJT ajoute qu’il se réserve le droit de poursuivre les agresseurs en justice, d’autant plus qu’il affirme avoir en sa possession des enregistrements sonores et visuels des actes de violence.
Notons que la centrale ouvrière a récusé cette version des faits, de la bouche même de son porte-parole et secrétaire général adjoint, Sami Tahri.