Afin de mettre un terme au trafic de devises pratiqué par des réseaux illégaux, la loi de finances complémentaires (LFC) 2014 propose pour adoption à l’Assemblée nationale constituante que les personnes morales, répondant à des critères devant encore être définis dans le cadre d’un décret, soient autorisées à pratiquer les opérations de change manuel, actuellement limitées, et à ouvrir des bureaux de change.
La Banque centrale de Tunisie fixera les conditions de pratique de cette activité, les opérations autorisées et les mécanismes de contrôle de ces bureaux de change.