Revenant sur le phénomène du marché noir à la 50e édition du Festival international de Carthage, lors d’une intervention radiophonique, Sonia Mbarek, la directrice du festival, a exprimé son refus catégorique de ce phénomène dû à « la bousculade et la violence devant les guichets, ce qui oblige les gens à recourir au marché noir ». Par ailleurs, elle a affirmé que pas mal de guichetiers ont été agressés. « C’est un grand problème qui dérange et qui me cause des soucis », s’indigne-t-elle.
Sonia Mbarek a déclaré que toutes les précautions ont été prises pour contrer ce phénomène, comme l’interdiction de la vente de plus de deux tickets par personne.
Répondant à une question qui porte sur l’identité des personnes qui profitent du marché noir, elle a affirmé qu’elle ne dispose d’aucune information sur leurs identités.