«La loi de finances complémentaire 2014 a négligé les droits de l’armée et de la police nationale, en les privant des moyens nécessaires pour la lutte contre le terrorisme», a déclaré Radhi Meddeb, économiste et président-fondateur de l’association Action et Développement Solidaire, sur les ondes radiophoniques.
Et d’ajouter que la LFC contient plusieurs réformes pour le futur, afin de mettre en valeur les efforts du gouvernement, qui semble optimiste contrairement aux rapports de la BCT.
«Les indicateurs et les mesures actuelles sont, pour autant, aptes à mettre la Tunisie sur le bon chemin», conclut-il.