En fin de compte l’Histoire est un éternel recommencement. A compter de la seconde moitié des années quatre-vingt, le pouvoir en place en Tunisie et notamment le soldat déserteur Ben Ali et sa bande familiale ont gouverné la Tunisie grâce aux islamistes en nous imposant le caractère exclusif, « eux ou nous » et son « sens stratégique » sanguinaire déployé aussi bien à Bab Souika qu’à l’Hôtel Kuriat de Monastir où une « British » a perdu une jambe sans qu’elle soit partie prenante dans le conflit. Son seul tort, c’était d’avoir choisi de passer ses vacances en Tunisie.
Aujourd’hui, les commanditaires d’alors, dans des costumes civilisés, impeccablement coupés aux frais, comme Ben Ali, du contribuable, reconnaissent la dérive de la fin des années quatre-vingt tout en nous imposant le même slogan benaliste « Eux ou nous », gouvernent ces contrées au grand dam d’une population n’ayant jamais connu, par le passé, les «sportifs » du mont Chaâmbi ni « des individus nous rappelant notre jeunesse ».
Au nom de cette exclusivité destructrice, nous restons, comme par fatalité, liés à ce rapport d’aversion sans que l’ont sache s’en dégager. Même ceux qui nous ont par le passé passionnés par leurs discours sur les droits de l’Homme se sont transformés en droit-de-l’hommistes, au crépuscule de leur vie qu’ils ont vu déferler sans qu’ils nous apportent, et sans qu’ils s’apportent à eux-mêmes surtout, ni subsides, ni gloire, cherchant à s’engouffrer dans le train qui quitte la gare, bondé de « bab souikistes » afin de récolter ce qu’ils n’ont pas pu, pour certains voulus, du temps de Ben Ali, qui les a, tout d’abord, manipulés puis livrés à un vécu de la diaspora, nourrie au sein tout à fait maternel de l’euro, du dollar et de la livre sterling, drapé dans l’humanitarisme bien avant que le ryal qatari ne fut.
Aujourd’hui, la même diatribe reprend et une frange de Tunisiens se mord la queue en acceptant de cautionner et surtout d’aider les « sportifs » du Chaâmbi en monnayant ses services meurtriers pour aider ceux qui détruisent le présent et l’avenir de leurs enfants. Certes, pour beaucoup d’entre eux, ils n’ont rien tiré de la première victoire du « Eux ou nous », essayent, comme les « bab souikistes », de s’engouffrer dans le train quittant la gare, avec le même slogan de « Eux ou nous », en s’accommodant des nouveaux « nous » quitte à brûler les vastes monts et vaux de nos contrées, engouffrant leur progéniture et leurs petits enfants dans l’enfer du terrorisme. Le terrorisme ne peut pas survivre sans relais sociétal et sans relais dans les couches de la population. La Tunisie postrévolutionnaire offre grâce à la cupidité des laissés-pour -compte de près de soixante ans d’indépendance, de ses nouveaux politiciens et des anciens combattants de l’ère anti-benaliste, un parfait berceau.
Ces Tunisiens venus « bien de la planète Mars » s’arrogent même le droit de demander, au passage, à la bourse du citoyen qui n’a jamais voulu s’engouffrer dans le « Eux ou nous », plus de dinar, même déprécié, pour remplacer l’Euro, le Dollar, le Pound et le récent Ryal. Finalement le « Eux ou nous » de Georges W. Bush est bien une création de chez nous, entamée par Ben Ali et ramenée à la vie par ceux qui nous gouvernent aujourd’hui d’une manière directe ou indirecte.
bush devrai etre executer pourquoi est-il encor vivant?
BUSH le criminel pedophile illuminati-sioniste-franc-maçon tel père tel fils
George bush ces fait sodomiser par son père a l’âge de 6 ans mes sa il le dise pas dans l’actualités.