«Le développement du marché obligataire permettra, à lui seul, de réduire le déséquilibre entre des créances en monnaie locale et des engagements en devises très dommageable en cas de dépréciation du taux de change de dinar», a affirmé Fadhel Abdelkefi, directeur général de Tunisie Valeurs.
Et d’ajouter que ce développement est certainement favorable à la Tunisie. Il est utile, selon ses dires, à la conduite de la politique monétaire et au bon fonctionnement du système financier.
En comparaison, M. Abdelkefi n’a pas manqué de faire savoir que le marché obligataire marocain est plus développé que le nôtre car il a connu de grands changements, suite à l’approfondissement de la réforme via une dynamisation accrue du marché boursier et le renforcement de sa supervision.