Dans une déclaration accordée à l’agence TAP, le Syndicat de la Garde Nationale a réclamé aux autorités concernées de donner la permission aux agents de la Garde Nationale de garder leurs armes personnelles après le service, et ce, surtout dans les zones considérées comme zone rouge pour le terrorisme.
Par ailleurs, le Syndicat a appelé le gouvernement à revoir sa stratégie sécuritaire au niveau des frontières et à réexaminer la proposition de loi relative à l’incrimination des agressions contre les forces armées et sécuritaires et des agents de la Douane.
Rappelons que cette demande vient au lendemain de l’agression terroriste qui s’est produite dans la ville du Kef où un agent de la Garde Nationale a été retrouvé égorgé.