Au cas où le président provisoire de la République, Moncef Marzouki, refuserait de signer, avant le 10 décembre, le décret-loi permettant le déblocage de la première tranche du budget de l’Etat 2015, le pays vivra dans une paralysie totale ; c’est ce qu’a affirmé le professeur en droit constitutionnel, Naoufel Saïd.
Néamoins, il a écarté cette hypothèse, pourtant envisageable, en estimant qu’un président de la République est logiquement « une personne responsable, rationnelle et soucieuse de la bonne gestion publique ».