«La fixation par le ministère du Commerce des prix minimal et prix plafond doit être justifiée. Dans le cas contraire, la décision sera annulée», a déclaré Mohamed Ali Ferchichi, le porte-parole du ministère, sur les ondes radiophoniques.
Et d’ajouter que 87% des produits exposés dans les marchés tunisiens sont des produits à prix libres.