A New York, le prix du baril brut a atteint hier lundi 4 janvier les 50 dollars, un niveau mondial jamais atteint depuis 2008. Paradoxal, dans une économie mondiale qui piétine, les nouveaux prix n’obéissent à aucune règle du marché et les économistes ne trouvent aucune explication logique pour cette chute brutale du pétrole brut.
Si les principaux pays producteurs du pétrole comme l’Arabie Saoudite ne baisseront pas leur production, la chute rapide des prix se poursuivra et pourrait aller pour les jours qui viennent jusqu’à 30 et même 20 dollars. La question qui se pose aujourd’hui est de savoir à qui profite cette chute, sachant que les prix à la pompe n’ont pas subi de grands changements ?