«Atteindre un taux de croissance de 4%, telle que mentionnée dans le programme économique de Nidaa Tounes, n’est pas impossible mais difficile», a annoncé Sami Moulay, expert en finance, soulignant que cela suppose des réformes approfondies dans différents secteurs.
Et d’ajouter que la baisse des exportations et la dépréciation du dinar contre le dollar enrayent la réduction du déficit commercial.