« L’accord politique ou la destruction », tel est le choix qui s’offre aujourd’hui à la Libye a affirmé l’émissaire de l’ONU, Bernardino Leon, à l’ouverture de la réunion de dialogue à Alger, en ajoutant que « la destruction n’est pas une option ».
Désignée par l’émissaire onusien comme un forum des partis politiques, la réunion d’Alger est d’après lui « cruciale » dans le processus qui commence et qui doit conduire à un accord politique. Il souligne d’ailleurs qu’ « on ne va pas permettre à une partie de la Libye de s’imposer à l’autre ».
Les travaux de cette rencontre, qui se déroulent en présence de représentants des pays voisins de la Libye, s’inscrivent dans le cadre des efforts soutenus de l’Algérie pour réunir les parties libyennes autour de la table de dialogue, afin de parvenir à une solution politique à la crise en Libye.