
Interrogé sur l’avancement de l’enquête, le Président de la République a fait savoir qu’il y avait trois agresseurs identifiés. Deux ont été tués, mais un troisième court encore, qui n’ira pas très loin. »Nous avons demandé au peuple (de nous aider à l’arrêter) parce que le peuple y a lui-même intérêt ».
Le Président de la République a, par la même occasion, déclaré que ce n’était pas par des moyens policiers ou sécuritaires que l’on allait gagner la bataille contre le terrorisme, mais que « quand on nous fait la guerre, on fait la guerre ».