Face à la chute drastique des recettes pétrolières– l’Algérie ayant perdu 15 milliards de dollars sur ses réserves de change entre fin 2013 et fin 2014- le gouvernement est confronté à un double défi : faire baisser la facture des importations et réduire les dépenses budgétaires.
Notre confrère Al Watan affirme dans son édition de ce mardi que les autorités algériennes ont déjà commencé à tailler dans la structure des importations. Outre les voitures, plusieurs autres niches subiront le diktat des banquiers qui, en vérité, ne font que matérialiser, techniquement, les nouveaux desiderata de l’Exécutif.
A l’avenir, les arbitrages promettent d’être douloureux. Faute d’une économie productive et exportatrice, aucun substitut n’est en mesure d’éviter le naufrage des caisses de l’Etat si les cours du pétrole se maintiennent à des niveaux aussi bas. Mais toutes les pistes qui pourraient être retenues, dans cette conjoncture d’austérité, impliquent des sacrifices.
Toujours selon la même source, la tendance serait identique à celle de 2009, lorsque l’Algérie avait perdu la moitié de ses recettes au lendemain d’une crise financière (subprimes) qui a mis à genoux les Etats les plus puissants de la planète. En définitive, pour les prévisions de recettes de 2015, le gouvernement devra diviser par deux la facture des importations pour être à même de juguler le déficit de la balance commerciale.
Les pays producteurs de pétrole ne sont pas au bout de leur peine ! les occidentaux veulent se faire moins tributaires de ces pays qu’on appelle communément pays à régime anachronique, on investie dans l’energie renouvenable ! Ce qui m’étonne c’est de voir les pays Arabes où le Soleil brille la plupart du temps n’ont pas opté depuis longtemps pour le chauffage urbain en employant l’energie solaire , et les hotels avec leur chauffage qui pollue , décidément le progrés nous passe sous le nez, sans qu’on s’en apercoive , bande de dormeurs !