
Mohamed Guermazi, directeur général adjoint de la société, tire la sonnette d’alarme : « Les ouvriers sont entrés en grève de manière illégale et refusent toujours de regagner leurs postes voilà maintenant deux semaines », a-t-il déploré.
Selon ses dires, les protestataires ont bloqué les portes d’entrée de l’usine pour empêcher leurs collègues qui veulent travailler de réintégrer leur travail, soulignant que les PV des huissiers notaires l’attestent.
« Entre-temps, des réunions ont été tenues avec le syndicat dont l’attitude intransigeante a mis en échec les négociations », a ajouté M. Guermazi déplorant les invectives proférées par certains protestataires envers les cadres de la société. Un avis de lock-out de deux semaines, à partir de lundi, a été lancé par le directeur général de la société.