L’Institut de la Méditerranée et Femise (Forum euro-méditerranéen des instituts en sciences économiques) viennent de publier une étude intitulée « Stratégie de développement économique et social à moyen terme en Tunisie », réalisée sous la direction du Professeur Chedly Ayari, Professeur émérite de l’Université de Tunis El Manar et du Professeur Jean-Louis Reiffers (président des comités scientifiques de l’Institut de la Méditerranée – Marseille et du Femise ), Professeur émérite de l’Université de Toulon.
« Eléments pour une stratégie de développement économique et social à moyen terme en Tunisie » est une étude inédite sur l’économie tunisienne qui analyse ses principaux vecteurs de développement économique et social pour la prochaine période. L’ouvrage propose en outre un cadrage macroéconomique. Les recherches effectuées dans cet ouvrage par une équipe d’universitaires et d’experts tunisiens et français ont permis de dégager les contraintes de la croissance, de l’équilibre macroéconomique et social et de proposer des orientations stratégiques de l’économie tunisienne pour les prochaines années.
A ce titre, les conclusions obtenues des diagnostics approfondis serviront comme base essentielle permettant d’orienter la nouvelle politique de développement à moyen terme et de cibler les principaux points critiques permettant de hiérarchiser une nouvelle politique de relance, d’autant que le gouvernement entame la mise en œuvre d’un nouveau plan quinquennal de développement 2016 – 2020.
L’ouvrage est structuré en deux parties : la première partie se réfère aux diagnostics et aux repères stratégiques et de résilience économique et sociale. Le chapitre 1 analyse les transformations structurelles du schéma de croissance, et en particulier les contraintes macroéconomiques et institutionnelles majeures pour une croissance génératrice d’emplois. Le chapitre 2 propose un nouveau contrat social pour une croissance juste, équitable et à même de relever les défis de l’inclusion sociale. Quant au chapitre 3, il analyse la stratégie d’ouverture internationale. Le chapitre 4, par contre, décline les facteurs de renforcement de la résilience macroéconomique et de l’inclusion financière.
La deuxième partie de l’ouvrage propose un plan de réformes économiques et sociales. Le chapitre 5 caractérise les leviers du changement et les chantiers stratégiques de réformes à court terme pour un nouveau palier de croissance inclusive. Le chapitre 6 propose une nouvelle génération de réformes structurelles sur le moyen-long terme. Le dernier chapitre conclut sur le nouveau régime de croissance à mettre en place et les perspectives macroéconomiques. A ce titre, divers scénarii de cadrage macroéconomique sont déduits à partir d’un modèle spécifique de prévision à moyen terme.
Article nul, ni forme, ni contenu. Des termes compliqués, beaucoup de théorie, des fautes d’orthographes, des mots écrits en double. Relisez vos articles SVP … Mr Ayari était mon professeur d’économie et j’ai assisté à bon nombre de ses conférences. C’est un excellent théoricien, ce n’est pas un homme de terrain. D’ailleurs, il ferait mieux de commencer par mettre en oeuvre les projets de décrets et circulaires se trouvant dans les tiroirs de la BCT et qui seraient susceptibles de relancer l’investissement et l’emploi, que de nous dicter en permanence les théories de J.M. Keynes et celles d’Adam SMITH …