Le syndicat général de la Garde nationale a imputé la responsabilité des attentats terroristes aux trois présidents, aux partis politiques et aux députés de l’ARP, « pour n’avoir pas traité avec sérieux le dossier du terrorisme et pour avoir bloqué la mise en application des lois y afférentes ».
Le syndicat a appelé à fournir aux unités de la Garde nationale, surtout dans les zones sensibles, des voitures blindées et des équipements techniques modernes pour faire face aux terroristes.