Les banques européennes risqueraient d’accuser un déficit de fonds propres, qui pourrait atteindre 26 milliards d’euros, et ce, si les autorités de régulation parviennent à imposer des normes prudentielles uniformes d’ici la fin 2018, selon une étude élaborée par JP Morgan.
Ce déficit serait, d’après l’étude, supporté par Raiffeisen Bank, Crédit Agricole, UniCredit, Société Générale, Banco Santander et Natixis.
A noter que les règles prudentielles se substitueront aux dispositions nationales qui rendaient difficiles les comparaisons entre les établissements financiers.