La marche de protestation contre le projet de loi sur la réconciliation nationale suscite une polémique. Tel était le cas lors du débat à l’ARP qui s’est tenu aujourd’hui à partir de 10h50, lors de l’audition à huis clos du ministre de l’Intérieur, Mohamed Najem Gharsalli.
Le ministre ne remet pas en question “ le droit de manifester” qui selon lui est un droit constitutionnel mais il est de son devoir d’assurer la sécurité des manifestants, a posté Al Bawsala sur son compte twitter.
“Nous ne sommes pas contre le droit de manifester, mais il y a des raisons qui nous poussent à agir ainsi, parce que effectivement il y a de réelles menaces, en particulier entre les 11 et 14 septembre”, a indiqué le ministre.
Il a également ajouté que compte tenu des circonstances, il faudrait essayer de trouver une solution qui garantisse les libertés et la sécurité en même temps”.