
Selon lui, il s’agit d’un premier rassemblement que le Front populaire organise, précisant : « Notre première revendication consiste à ce que le projet de loi soit retiré, parce que personne ne soutient ce projet, à plus forte raison un juriste ».
Il a également rappelé que durant la période de la Troïka: « Même si nous étions en état d’urgence, on avait le droit de manifester sans qu’il y ait personne qui nous gêne, à l’exception des événements du 9 avril 2012 qui se sont transformés en un jour noir après que les forces de l’ordre ont utilisé la violence contre les manifestants pacifistes », a-t-il conclu.