La présidence du Gouvernement, dans un communiqué, a fait savoir que les phénomènes de la contrebande et du commerce informel ont entraîné une perte chiffrée à 1.2 milliard de dinars y compris 500 millions de dinars de taxes douanières non perçues.
Toujours selon les mêmes sources, les opérations financières illégales au passage des frontières entre la Libye et l’Algérie ont généré plus de 1.8 milliard de dinars, tandis que le volume du commerce informel avec la Libye a atteint le seuil des 50% des échanges commerciaux formels. En revanche, du côté de la frontière avec l’Algérie, les échanges informels équivalent en quantités aux échanges formels.
Lors d’une réunion du Conseil des ministres, il a donc été décidé la création d’une structure chargée des terminaux frontaliers.