D’après le quotidien arabophone Assabah, dans sa livraison du 9 novembre, un accord a été conclu entre le Comité de la protection des données personnelles et le ministère de l’Intérieur. Une circulaire serait envoyée aux structures et établissements dépendant du ministère pour régir les conditions de la mise en place des dispositifs visuels régissant le contrôle des avenues et des rues.
D’après la même source, parmi les conditions mentionnées dans l’accord il y aurait des limites au contrôle uniquement visuel des personnes sans la voix, les caméras doivent être d’une excellente qualité et les établissements concernés doivent aussi fixer une liste des personnes autorisées à consulter les vidéos.
Il est à rappeler que la délégation spéciale de Mégrine, en octobre dernier, a pris la décision d’installer des caméras de surveillance aux endroits où il est interdit de jeter des ordures. Cette décision devait permettre à la délégation spéciale d’identifier les personnes qui ne respectent pas la loi, d’après un communiqué rendu public hier 30 septembre. La délégation a pris cette décision, après avoir constaté qu’un certain nombre de points étaient envahis par les ordures.