Combattre la corruption est devenu un apanage institutionnel. Y a-t-il une stratégie nationale de lutte contre la corruption? Quels sont les outils de prévention anti-corruption? C’est en partie le débat qu’a organisé le Center for the Study of Islam and Democracy, en ce samedi 9 juillet à Tunis.
Rencontré lors du débat, Ahmed Souab, juge au sein du Tribunal administratif, a fait savoir que pour lutter contre la corruption et la malversation, la société civile et les médias sont des instruments efficaces, en soulignant : « Les pouvoirs législatif et exécutif ont échoué à éradiquer ce phénomène. »
Il ajoute : « Il y a aussi le pouvoir juridictionnel. En tant que juge, je dois admettre que nous avons failli dans notre tâche dans la lutte contre la corruption, et ceci pour plusieurs raisons. Je pense que les structures, les syndicats et les associations qui représentent les magistrats ont beaucoup penché vers un corporatisme sectaire, qui n’a pas fait suffisamment pression pour traiter en priorité les dossiers liés à la corruption. »
Il déclare : « Je pense que les juges auraient dû travailler d’une façon plus efficace, plus équitable et plus pédagogique pour traiter les dossiers les plus importants, notamment les banques, les fraudes fiscales, les spoliations d’immeubles publics ».
Il poursuit : « Si notre structure la plus représentative, l’Association des magistrats, a mentionné que plus de 200 magistrats étaient corrompus sous la Troïka, il aurait fallu prendre des mesures, bien que malheureusement, on ignore à ce jour à propos de ces procès, s’il y a eu des suites. Ce qui s’est passé, c’est qu’ils ont étouffé tous les procès équitables, alors qu’on aurait pu avoir un appareil juridictionnel plus efficace dans cette lutte contre la corruption. »
Interrogé sur les solutions, il a répondu qu’il y a remède à tout tant que la société civile reste mobilisée, dénonciatrice de ce fléau qui gangrène la société.
Il conclut : « J’ajouterais qu’il faut qu’il y ait des textes juridiques, des lois pour la protection des témoins et surtout qu’il y ait une prise de conscience de la part des juges afin qu’ils soient conscients parce que chacun de nous a une responsabilité envers soi-même et envers les citoyens, à plus forte raison quand les juges sont coupables. »
Non !!!! ya rou7i ya rou7i
quelqu’un avait dit que « le tunisien est pénétré d’une naîveté ancestrale »
Notez dans le passage l’utilisation du mot pénétré,
Ce fils à Moufida vient juste de nous dire « …et maintenant que vais-je faire???… »
bien sur devant l’ampleur du désastre, il n’a trouvé mieux que de nous convaincre qu’il faut désormais admettre une réalité qu’ils ont créé eux mêmes pour faire fleurir leur business : il faut s’habituer à vivre dans un environnement ultra corrompu. C’est comme le juge qui vient conseiller à une femme violée qui vient de lui demander justice que désormais il faut qu’elle s’habitue à faire la prostituée, qu’elle commence par se faire sauter par lui et qu’elle lui verse régulièrement sa part des revenus pour lui assurer une couverture légale, enfin qu’elle n’a plus d’autres choix…
Oui évidemment quand un juge administratif s’emploie à changer la réalité dans son jugement pour se prévaloir ensuite de l’autorité de la chose jugée.
Pour simplifier imaginez un juge qui falsifie son jugement et déclare que le drapeau tunisien est de couleur noire et qui vient ensuite, se prévalant de l’autorité de la chose jugée, vous dire que désormais la couleur du drapeau est noire.
Les salauds, ont mis le feu à mon paradis
Les salauds, ont mis le feu au paradis.
Ces salauds, ont mis le feu à mon paradis.
Les salauds, ont mis le feu au paradis.
Journalistes pyromanes,
« Juges pourris, maudits »
Politiciens mythomanes,
Avec les prêtres corrompus,
Et les imams vendus,
Ils sont bêtes et méchants,
Ils ont mis le pays à feu et à sang,
Bêtes et méchants (x2).
Ils s’en foutent de toi et moi (x2)
Ils s’en foutent de nos parents,
Ils s’en foutent de nos enfants.
Le Tribunal Administratif était un symbole pour moi,
j’y croyais fermement,
je pensais que c’était une indestructible forteresse de la loi,
la meilleure destination des justiciables,
Les salauds l’ont sabordé,
des juges pourris l’ont traîné dans la boue,
des juges corrompus ont mis à terre, sous les pieds des exécrables corrupteurs, le prestige du Tribunal Administratif, en se livrant à des escroqueries aux jugements :
Affaires :
18040 première instance
27660 Appel
311836 Cassation
c’était tellement scandaleux que l’ex-gouverneur corrompu de Ben Arous n’as pas hésité à « excuser le terme » pisser sur l’honneur de la Présidente du Tribunal Administratif qui lui demandait des comptes, Elle avait pitoyablement rendu le scandaleux jugement en dernier ressort.
Pour caricaturer, on peut imaginer un jugement qui disait qu’un blanc peut devenir noir par la force de la chose jugée.
Ce sont ces fils à Moufida qui ont instauré la corruption dans le pays.
Une seule recette pour éradiquer la corruption, elle se résume en :
1) balancer tous les juges actuels et les charger de travaux préparatoires ou administratifs dans d’autres ministères;
2) habiliter de jeunes juges sous une étroite surveillance pour les éloigner de toutes sources de tentations ou de contaminations. en les vaccinant contre la corruption.
3) veiller à l’exécution des jugements rendus et engager des poursuites pénales automatiques contre tous ceux qui refusent d’exécuter les jugements.
SEULE UNE JUSTICE ÉQUITABLE PEUT ÉRADIQUER LA CORRUPTION TOUT LE RESTE N’EST QUE TROMPERIES ET VEINES GESTICULATIONS
On rapporte que Churchill posait toujours cette question en arrivant dans une région :
Comment va la justice???