Mehdi Ben Gharbia, ministre chargé des Relations avec les instances constitutionnelles et la société civile, vient de faire sur sa page Facebook un démenti catégorique à propos de tout ce qui se propage depuis un certain temps et relatif à des affaires de corruption.
Dans un post publié en arabe, il a longuement abordé la question de ce qui a été présenté comme étant son éventuelle implication dans ce genre d’affaires.
Considérant qu’il s’agit là, selon lui, « de propos fallacieux qui visent à le discréditer , par le biais d’une campagne orchestrée méthodiquement par des pages Facebook à profil « douteux » et des parties qui persistent, selon lui, à induire l’opinion en erreur par ce genre d’intox ».
Il a en outre considéré que cette campagne ne vise pas seulement sa personne, mais la dépasse pour tenter de parasiter et de porter le trouble en fait à la « guerre guidée par le gouvernement d’union nationale contre la corruption et ce depuis le lancement de l’initiative en la matière du Président de la République et du pacte de Carthage et depuis que le Chef du Gouvernement a considéré qu’il s’agit là d’une bataille d’existence.. », a- t-il souligné.
Le post fait aussi état d’un bref aperçu sur la carrière politique de son auteur pour insister sur sa détermination à participer avec une foi inébranlable en l’impératif de lutter contre la corruption.
Mehdi Ben Gharbia a tenu par conséquent à nier catégoriquement faire l’objet de poursuites judiciaires en relation avec une affaire de corruption, réfutant par là ce qui est en train d’être propagé comme documents qu’il dit «être en rapport avec une campagne similaire douteuse en 2013 ».
Réfutant ce qu’il considère être des allégations sans fondement, il a tenu à préciser qu’il a fait lors de sa nomination à son poste ministériel une déclaration complète et transparente de tous ses biens, et ce, tout en s’acquittant de manière régulière de son devoir fiscal.
Il a également affirmé qu’il a dix affaires judiciaires en cours dont 6 pour diffamation qu’il a intentées contre certaines parties. Les 4 autres sont civiles et immobilières.