25% des plaintes reçues par l’ONG I watch sont relatives aux recrutements dans la fonction publique, indique Intissar Arfaoui, conseillère juridique de l’ONG, lors d’un débat organisé sur la transparence dans les recrutements dans la fonction publique.
Dans le même contexte, la conseillère juridique de l’ONG a fait savoir que l’ONG a déposé un certain nombre de plaintes contre des soupçons de corruption : une plainte contre le ministère de l’Equipement, trois plaintes contre le ministère de l’Enseignement supérieur.
De même et d’après une enquête réalisée par l’ONG, 93% des jeunes considèrent que la corruption existe bel et bien au niveau des recrutements concernant la fonction publique. Elle serait due à un manque de confiance des candidats vis-à-vis de l’administration dans l’organisation des concours de recrutement.
En réponse à ces accusations, Mohsen Samari, cadre supérieur au sein de la Présidence du Gouvernement, les réfute assurant qu’il n’existe pas de corruption dans les concours de la fonction publique, prenant à témoin la société civile laquelle, dira-t-il, est partenaire et peut donc le confirmer.