Au programme, la grève générale du 17 janvier et son impact. Walid Sfar, vice-président du parti Afek Tounes, apporte des précisions.
Ainsi, il souligne : « La dernière chance est passée. Nous pensons que cette grève aurait pu être évitée. D’ailleurs, il ne fallait pas s’entêter mais trouver un bon terrain d’entente. Alors qu’il y avait cette possibilité là, loin des calculs politiques. »
Par ailleurs, Walid Sfar ajoute : « La grève d’aujourd’hui n’est qu’une étape dans un processus qui peut aller bien au delà. »
Quant à la question de l’impact, il répond : « Nous sommes dans un pays qui souffre économiquement et socialement. Nous avons besoin d’une paix sociale et de faire baisser toutes les tensions. »
Enfin, M. Sfar conclut : « A mon avis, nous aurions pu éviter cette grève. Car de toutes les façons, les conséquences ne peuvent être que mauvaises. Vous savez quand il y a un entêtement politique, généralement cela finit mal. »