Notre pays a déjà accompli des réalisations pour “améliorer l’efficacité et la responsabilité de l’action publique”.
L’école de communication de l’Université centrale a organisé le 15 mars 2019 une rencontre sur l’Open government (Le gouvernement ouvert).
La rencontre a porté sur “ un mode de gouvernance – l’Open government- qui vise à améliorer l’efficacité et la responsabilité de l’action publique”.
La première intervention, celle de Rim Garnaoui, conseillère des services publics a mis en exergue l’engagement de la Tunisie dans une initiative d’importance entamée au début de 2011 par huit leaders gouvernementaux et neufs leaders de la société civile.
L’Open government est le fait de quelque 170 États. Tous engagés à aller de l’avant cette voie notamment de la “recevabilité”, la “transparence” et la “ participation citoyenne”.
Un bien-être démocratique
Des terrains sur lesquels la Tunisie a avancé avec des réalisations. Comme le portail national des données ouvertes, la loi de 2017 sur la dénonciation de la corruption et celle de 2018 sur l’enrichissement illicite.
La rencontre a vu également la participation d’autres intervenants. Comme Maher Kallel, président d’Open Data Forum et Hajer Trabelsi, membre de l’instance Nationales de l’Accès à l’information (INAI).
Tous ont mis en évidence les avancées que peuvent assurer les initiatives et les réalisations de l’Open governement qui assure une gouvernance synonyme d’un bien-être démocratique.