Le chef du parti Beni Watani, Said Aydi, a assuré, en présentant vendredi sa candidature à la présidentielle anticipée, qu’il œuvrera à garantir la primauté de la loi et l’égalité entre les citoyens.
« Si je serai élu président de la République, je travaillerai à l’édification d’un Etat de droit et à la lutte contre tout ce qui était parallèle, qu’il soit économique, social ou sécuritaire », a-t-il déclaré à la presse.
Il a également souligné qu’il œuvrerait pour la défense de la souveraineté de la Tunisie dans un « style moderne, en phase avec l’évolution que connait le XXIe siècle », affirmant que la souveraineté « est économique et territoriale et touche les ressources naturelles, elle est aussi d’ordre numérique et sécuritaire ».
Aydi, ex-membre dissident de Nidaa Tounes, a précisé qu’il engageait la cours à la présidence fort de 18 mille 600 recommandations populaires.
A l’expiration du délai de dépôt des candidatures vendredi, un total de 98 prétendants ont enregistré leurs dossiers à l’ISIE.