Mohamed Tlili Mansri, membre de l’ISIE, revient sur l’organisation des élections législatives et présidentielles dans une déclaration radiophonique.
Ainsi, Mohamed Tlili Mansri évoque les difficultés logistiques et humaines rencontrées. M. Mansri déclare que le processus électoral n’était pas facile. Il a évoqué à ce propos les rumeurs qui précédaient l’annonce des résultats préliminaires de la présidence. « Hier, nous avons examiné le déroulement de la campagne ainsi que les irrégularités. «
« Aucun impair relevé »
Et d’ajouter : « Dans ce qui s’est passé, il n’y a rien d’anormal. Car la loi nous a autorisé à annoncer avant minuit hier. Nous voulions attendre et voir parce que le problème est purement technique et qu’aucune erreur n’est à enregistrer. »
Quant aux recours, « aucun appel n’a été interjeté contre les résultats du premier tour. En l’absence d’appel, le second tour de la présidentielle devrait se tenir le 29 septembre 2019. Or, sur le plan logistique ce n’est pas aussi simple », fait-il remarquer.
Enfin, l’hypothèse d’organiser les élections législatives et l’élection présidentielle le même jour, soit le 6 octobre, se profile. Et M. Mansri souligne que ce scénario pourrait se concrétiser.