Kaïs Saïed, Président de la République, multiplie les rencontres au palais de Carthage. La situation générale du pays et les problèmes économiques et sociaux sont au centre de l’entretien avec les différents acteurs de la scène politique
Kaïs Saïed s’est entretenu avec le chef du gouvernement Youssef Chahed. L’entretien a porté sur « l’impératif de l’unité nationale ».
A l’issue de cette rencontre, Youssef Chahed, chef du gouvernement, a fait savoir qu’il a informé le Président du contenu des réunions et entretiens qu’il avait eus lors de sa participation au récent sommet Russie-Afrique de Sotchi (Russie).
Il précise dans ce contexte: « J’ai présenté au Chef de l’Etat les principaux indicateurs économiques actuels et les futurs programmes sociaux du gouvernement ».
Dans la même journée, Kaïs Saied a reçu Bertrand Delanoë, ancien maire de Paris.
D’un autre côté, ce dernier a réitéré ses félicitations au président pour sa victoire à l’élection. Il lui a transmis un message d’amitié et de considération du peuple français. Il a, ensuite, affirmé la volonté commune de consolider la coopération bilatérale.
En outre, Bertrand Delanoë revient sur les relations d’amitié et de solidarité établies. Il se dit confiant en la capacité des Tunisiens à relever les différents défis pour faire réussir leur expérience démocratique.
La Tunisie et la France partagent les mêmes valeurs
De son côté, Kaïs Saïed a affirmé que la Tunisie et la France partagent les mêmes valeurs de démocratie et de liberté.
Tout comme il a évoqué l’importance de promouvoir les relations de coopération stratégique. Et de raffermir les liens d’amitié historiques entre les deux peuples.
Kaïs Saïed rencontre Mohamed Abbou et Mohamed Hamdi
Par ailleurs, le marathon des rencontres continue. De ce fait, le Président de la République, Kaïs Saïed, a reçu également Mohamed Abbou, secrétaire général du Courant démocrate, et son adjoint, Mohamed Hamdi.
Enfin, le respect de la Constitution et la protection des droits et libertés. Tel est en partie le contenu de cette rencontre.
De son côté, Mohamed Abbou souligne: la Tunisie « peut changer pour le mieux ». Et ce « grâce aux efforts concertés de tous les patriotes honnêtes », conclut-il.