Le président de la République Kaïs Saïed recevait des représentants du monde des médias. Il s’agissait de: Néji Bghouri, président du syndicat national des journalistes tunisiens; Taieb Zahar, président de la Fédération tunisienne des directeurs de journaux; Lassad Khedher, président de la Chambre nationale syndicale des télévisions privées; et Kamel Robbana, président du Syndicat national de la défense des droits de l’Homme.
Dans ce contexte, Kaïs Saïed a évoqué la situation des diverses institutions de presse; mais aussi la situation des journalistes.
Le chef de l’Etat a rappelé l’évolution de la législation relative à la presse en Tunisie; ainsi que son importance.
De même, il souligne que la presse se doit d’être à l’avant-garde des forces qui garantissent la liberté et la transparence dans cette nouvelle phase en Tunisie. En outre, le chef de l’Etat a insisté sur la nécessité pour les médias de répondre aux attentes des Tunisiens.
Evoquant la politique publique des médias, le président estime qu’il faut qu’elle constitue une force de proposition; l’État exprimant la volonté générale.
Le Président Kaïs Saïed a exprimé son rejet catégorique des campagnes de déformation, d’incitation à la haine et de discours de haine. De plus, il affirme son soutien aux journalistes et aux divers médias. Enfin, il se déclare garant des libertés prévues par la Constitution, notamment de la liberté de pensée, d’expression et de presse.
En clair, sans médias libres, il n’y a pas d’info. Cela dit, la liberté d’expression demeure absolue, inconditionnelle, illimitée et insolente.