« L’imposition de 3% sur les bénéficies des banques pour financer les caisses sociales est une mesure révolutionnaire ». C’est ce qu’affirme Khaled Sdiri, expert en sécurité sociale et l’auteur du livre « Analyse économique et pilotage des régimes de la retraite ».
Dans une déclaration à leconomistemaghrebin.com, Khaled Sdiri affirme qu’il s’agit d’une mesure révolutionnaire. Cependant, il recommande d’accompagner cette mesure d’autres démarches. Pour que le client de la Banque ne subisse pas les répercussions de l’imposition. D’ailleurs, le spécialiste a estimé que les banques pourraient augmenter les frais et les commissions pour faire face à la nouvelle imposition. Mais, cette mesure aidera les caisses sociales à se redresser.
Revenant sur la situation des caisses sociales, notre interlocuteur a fait savoir qu’il est erroné de parler de « faillite des caisses sociales ». Pour lui, les caisses sociales ne peuvent pas faire faillite étant donné que les cotisants honorent leur devoir.
Il soutient, également, que les mesures mises en place pour le sauvetage des caisses contribuent à une amélioration partielle de leur situation. « Mais il faut continuer de mettre en place des réformes rationnelles, scientifiques et consensuelles pour pérenniser l’amélioration ». Pour rappel, les mesures en question sont: l’imposition de 3% sur les bénéficies des banques, l’augmentation de l’âge du départ à la retraite et la contribution sociale et solidaire.
Pour lui, l’objectif ultime est d’atteindre la réforme globale des caisses sociales. Khaled Sdiri affirme que le sujet est critique. « Il suffit de voir les mouvements de protestation contre la réforme des régimes de retraite en France », s’alarme-t-il.
Il rappelle également que la mise en place des réformes n’est pas aisée. Tout en reconnaissant que les réformes impactent les entreprises et les salariés, il a affirmé que le coût de la non-réforme est plus élevé.
D’abord il faut faire un « audit » sur les finances sociales depuis leur création (il y a eu plusieurs « Syphonnage » par les gouvernements en place) ? la cotation des régimes de retraite, à ses débuts, se basait sur une « moyenne de remboursement » d’une quinzaine d’années: l’espérance de vie à l’époque dépassait rarement les quatre vingts ans alors qu’aujourd’hui, avec les progrès technologiques et les découvertes en médecine l’espérance de vie dépasse facilement les quatre vingts ans pour plus de 75% des cotisés ?!! A partir de ces constatations il faut, Absolument; trouver d’autres « formules » de cotisations et de participation des secteurs financiers fleurissants (institutions financières, tva, assurances et affaires sociales) pour une SOLIDARITÉ NATIONALE POUR NE PAS OUBLIER LES PLUS DÉMUNIS!!!
je rajoute DEUX points Essentiels: Revoir tous les Régimes « SPÉCIAUX » quitte à les supprimer ?!! il n’y a pas de retraites SANS COTISATION ?!!
1) D’abord il faut faire un « audit » sur les finances sociales depuis leur création (il y a eu plusieurs « Syphonnage » par les gouvernements en place) ?!! 2) la cotation des régimes de retraite, à ses débuts, se basait sur une « moyenne de remboursement » d’une quinzaine d’années: l’espérance de vie à l’époque dépassait rarement les quatre vingts ans alors qu’aujourd’hui, avec les progrès technologiques et les découvertes en médecine l’espérance de vie dépasse facilement les quatre vingts ans pour plus de 75% des cotisés ?!! 3) Revoir tous les Régimes « SPÉCIAUX » quitte à les supprimer ?!! 4) il n’y a pas de retraites SANS COTISATION ?!! A partir de ces constatations il faut, Absolument; trouver d’autres « formules » de cotisations et de participation des secteurs financiers fleurissants (institutions financières, tva, assurances et affaires sociales) pour une SOLIDARITÉ NATIONALE POUR NE PAS OUBLIER LES PLUS DÉMUNIS!!!