Les étudiants tunisiens peuvent désormais bénéficier de bourses d’études en Chine. Telle est l’annonce du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
Désormais, poursuivre ses études en Chine, c’est possible! Voilà que le gouvernement chinois lance une bourse pour tous les étudiants qui veulent terminer leurs études en Chine.
En effet, c’est ce qu’indique le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Et ce, via la Direction Générale de la Coopération Internationale. Ainsi, il annonce que le gouvernement chinois offrira au titre de l’année universitaire 2020/2021 des bourses de master et de doctorat.
Selon le communiqué du ministère l’Enseignement Supérieur, ce programme est destiné aux étudiants qui veulent poursuivre leur master et aux étudiants en doctorat. Et ce, en vue de faire des recherches en rapport avec leurs études dans des établissements d’enseignement supérieur chinois.
Par ailleurs, le gouvernement chinois incite également les enseignants chercheurs tunisiens. Il les invite à postuler à des séjours de recherches dans des établissements d’enseignement supérieur chinois.
A cet égard, le dernier délai de soumission des candidatures est prévu au 1er février 2020. Et ce, sur les liens qui suivent.
- Formulaire de demande de bourses (Annexe 1): https://www.cjoint.com/c/JAgmLgZoBSO
- Formulaire médical (Annexe 2) : https://www.cjoint.com/c/JAgmL0m6zoO
- Formulaire de candidature (Annexe 3) : https://www.cjoint.com/c/JAgmMymJPHO
- Tableau de répartition des bourses (Annexe 4) : https://www.cjoint.com/c/JAgmM2aRucO
De plus, notons que la durée de stages est de 66 mois de bourses de stages pour des séjours de recherche.
De même, la coopération tuniso-chinoise ne date pas d’hier. Cette année marque le 55ème anniversaire des relations diplomatiques entre la Chine et la Tunisie. Et les relations bilatérales connaissent une évolution régulière et continue.
Au final, le marché chinois est un grand potentiel à conquérir. Reste à installer les infrastructures adéquates. Comme, pourquoi pas, une une ligne directe entre la Tunisie et la Chine qui favoriserait les échanges.