Abir Moussi, présidente du Parti destourien libre (PDL) est revenue sur le devant de la scène politique au cours de ces 48 heures. Notamment, en s’exprimant sur les ondes de Jawhara fm.
En effet, Abir Moussi y a évoqué les failles du système sur le plan socio-économique. Et notamment, concernant les aides sociales dont la procédure n‘est pas adaptée en ces temps de crise.
Ainsi, elle relève dans ce contexte « des rassemblements à tort et à travers qui n’ont aucun sens; alors que tout le monde se trouve confiné. »
Par ailleurs, elle dénonce l’attitude de Samira Chaouachi, vice-présidente de Qalb Tounes. La qualifiant d’allégeance au terrorisme. Car, Abir Moussi rappelle que l’Etat a classé Ansar Charia comme organisation terroriste. Accusant de ce fait le député Seifeddine Makhlouf de blanchir le terrorisme dans l’hémicycle.
Tout comme elle a critiqué Samira Chaouachi pour ne pas avoir réagi et avoir gardé le silence. Puisque rappelons que la première vice-présidente de l’ARP a retiré la parole à Abir Moussi et lui a demandé de respecter le règlement intérieur.
La présidente du bloc PDL accuse directement le bloc parlementaire d’Al Karama d’être le premier responsable dans le fait de nuire à la souveraineté nationale.
Elle a également rappelé son intention de porter plainte contre Seifeddine Makhlouf. Mais aussi contre Abdellatif Mekki pour avoir nommé un directeur qui fait lui aussi allégeance au terrorisme sur les réseaux sociaux. Et enfin contre le chef du gouvernement Elyes Fakhfakh, pour avoir blanchi la corruption.
C’est l’essentiel de ce qu’elle souligne, en revenant sur l’interview d’Elyes Fakhfakh.