Mondher Belhaj Ali, ancien député de Nidaa Tounes, revient sur l’affaire judiciaire de fraude financière qui remonte à l’an 2000. Pour laquelle il aurait écopé 4 ans de prison.
Mondher Belhaj Ali a déclaré dans une interview accordée sur les ondes de Shems fm qu’il n’était pas au courant de la décision rendue contre lui par les médias. Tout comme il n’était pas informé de la décision de renvoi ou d’une convocation à une session, bien qu’il s’agisse d’un droit constitutionnel, au cours duquel il doit être prévenu.
Mondher Belhaj Ali a souligné: « Je suis allé étudier en France de manière légale et par le biais du ministère. Je suis le premier Tunisien à être jugé après 60 ans d’indépendance, car je suis allé étudier à l’étranger ».
En outre, il a souligné qu’il est allé étudier en France en 2000 et ceci après avoir été le premier de sa promotion.
Et de poursuivre: « La question pour laquelle il avait été jugé avait été soulevée. Et cela a de nouveau été soulevé à cause de mes déclarations dans des médias concernant Rached Ghannouchi il y a deux semaines concernant sa relation avec Fayez El Sarraj, car il se comporte comme s’il était le président de tous les Tunisiens. »
Il a ajouté: « Chaque fois que j’assiste à un programme médiatique à partir de demain je reçois une convocation du juge d’instruction. »
Belhadj Ali a expliqué que « La Justice de Bhiri et d’Ennahdha sont derrière le mouvement des dossiers judiciaires sont ceux qui ont déplacé l’affaire et l’ont exhumée à nouveau. »