Le bureau de l’ARP a dénoncé des allégations « graves » et « sans fondements.» du PDL. A savoir celui d’imposer une séance plénière consacrée au vote du projet de loi sur la répression des agressions contre les forces porteuses d’armes.
Dans un communiqué rendu public, ce vendredi, le bureau de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) précise que le projet de loi en question est préalablement programmé à son ordre du jour, assurant que des correspondances ont été adressées à ses membres à ce sujet.
« La présentation du projet de loi en plénière, prévue les 6, 7 et 8 octobre prochains a été adopté à l’unanimité des voix », a-t-il soutenu.
Le bureau du parlement a affirmé avoir demandé l’accélération de l’examen de ce projet par la commission de législation générale, peu avant le démarrage des vacances parlementaires.
Des composantes de la société civile et des organisations des droits de l’Homme refusent ce projet de loi qui comporte. Car selon elles, «plusieurs lacunes et porte atteinte aux principes des droits de l’Homme».
Plus encore, celles-ci considèrent que les dispositions prévues dans le projet de loi «jettent les bases d’une dictature et d’un Etat policier».
Plusieurs syndicats sécuritaires ont demandé, quant à eux, l’accélération de l’examen dudit projet de loi, à la suite d’attaques et opérations terroristes survenues dans le pays.
Avec TAP