A l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes le 8 mars, tout le monde fête cette journée. Et tous les secteurs confondus dressent un bilan de la participation des femmes. Il en est ainsi du secteur du tourisme.
54% des femmes représentent la majorité des forces vives du secteur du tourisme. C’est ce qui ressort des données de l’OMT (Organisation mondiale du Tourisme).
Par ailleurs, l’OMT indique que les femmes se focalisent bien souvent dans les emplois à plus bas niveaux de qualification ou informels. Ce qui veut dire qu’elles ne visent guère une carrière de haut niveau. Plus encore, elles sont de plus en plus touchées par le crise économique. Et en période de pandémie, l’impact est plus fort que sur les hommes.
En outre, dans bien des cas, elles ne bénéficient d’aucune protection sociale et même sanitaire; alors que le contexte de pandémie mondiale s’aggrave.
OMT : un guide pour un redressement inclusif
En effet, un an après l’apparition de la pandémie, l’impact de cette crise sanitaire sur les femmes et les filles se ressent de plus en plus. Les femmes sont touchées de manière « disproportionnée par les ravages causés par la pandémie dans le secteur. » Et au delà de l’insécurité économique et sociale. C’est ce qui ressort des données de l’OMT.
D’où l’intérêt d’un Guide pour un redressement inclusif. Il devra pointer du doigt l’usage des responsables dans l’élaboration des politiques des entreprises et des acteurs de la société civile dans le tourisme. Et ce, pour qu’ils tiennent compte de la problématique femmes/hommes face à la pandémie en cours. Et la traiter d’égal à égal.