Depuis l’apparition de la pandémie, les habitants de la planète ont consommé 129 milliards de masques et 65 millions de gants. Tels sont les chiffres qu’a présentés la Banque Mondiale. Autrement dit, la pandémie n’a fait qu’aggraver les risques de pollution.
La pandémie de COVID-19 a favorisé la pollution marine à travers l’utilisation de masques jetables etc… Aujourd’hui, il est urgent que les pays déploient des efforts, afin de lutter contre cette pollution marine.
Mais la grande question est de savoir comment lutter contre cette pollution. Et notamment celle des plages envahies de plastique. Pour le cas de la Tunisie, cela commence par chercher à identifier les zones à risque de la pollution plastique marine.
Sachant que la lutte contre la pollution plastique marine bénéficie à l’environnement et à la société. De ce fait, pour stopper cette marée de plastique, il faudrait créer 700 000 emplois dans le monde, à l’horizon 2040.
Dans ce contexte, notons que chaque année, environ 570 000 tonnes de plastique sont déversées dans la mer Méditerranée . Ce qui correspond à l’équivalent de 33 800 bouteilles en plastique par minute.
Selon le Fonds mondial pour la nature (WWF), les pertes économiques annuelles pour les pays riverains s’élèveraient à 770 millions de dollars. Ainsi cette pollution nuit aux écosystèmes.