Le juge d’instruction a ouvert une enquête contre 116 personnes. Celles-ci sont soupçonnées d’être impliquées dans l’affaire de la falsification de documents administratifs. Et ce, au profit d’instituteurs suppléants relevant du commissariat régional de l’éducation de Sidi Bouzid.
Le tribunal de première instance de Tunis a transféré l’affaire au ministère public au Pôle judiciaire, économique et financier.
Dans le cadre de l’enquête, le juge d’instruction chargé du dossier a émis des mandats de dépôt. Et ce contre 4 fonctionnaires au commissariat régional de l’éducation de Sidi Bouzid.
Notons que « la falsification a concerné une fiche attestant l’affectation de la personne concernée. Et ce, au poste d’instituteur suppléant. Ce qui lui permet d’être classée prioritaire dans le recrutement. Et ne concerne en aucun cas des diplômes scientifiques », précise le communiqué.
Avec TAP