En utilisant ce site, vous acceptez la Politique de confidentialité et les Conditions d'utilisation.
Accept
Leconomiste Maghrebin
  • Accueil
  • Idées
    • Analyse
    • Chroniques
    • Interviews
  • Economie
    • Conjoncture
    • Finance
    • Environnement
    • Emploi
    • Consommation
    • Economie internationale
  • Entreprise
    • Industrie
    • Agriculture
    • Sciences et technologies
    • Business
    • Energie
    • Services
  • Nation
    • Education
    • Politique
    • Société
    • Régions
    • Talents
    • Météos
  • Maghreb
  • Afrique
  • Monde
  • Culture
    • Arts
    • Livres
    • Médias
  • Bien-être
    • Santé
    • Sport
    • Style de vie
En lisant: COP26 : taxation des multinationales, une occasion manquée
Partager
Notification Voir Plus
Dernières nouvelles
Emmanuel Macron: entre politique étrangère et poursuite des réformes
A ne pas manquer Monde
Donald Trump lève les sanctions contre la Syrie et scelle un investissement de 20 milliards dans l’IA
A ne pas manquer Monde
Transport: appel d’offres pour 30 rames de métro et arrivée imminente de 300 bus
A ne pas manquer Nation Société
vols
14 nouveaux avions pour Tunisair fin mai 2025
A ne pas manquer Nation Société
Mohamed Ali Nafti à Berlin pour la conférence ONU sur le maintien de la paix
A ne pas manquer Nation Politique
Aa
Aa
Leconomiste Maghrebin
  • Economie
  • Entreprise
  • Monde
  • Accueil
  • Idées
    • Analyse
    • Chroniques
    • Interviews
  • Economie
    • Conjoncture
    • Finance
    • Environnement
    • Emploi
    • Consommation
    • Economie internationale
  • Entreprise
    • Industrie
    • Agriculture
    • Sciences et technologies
    • Business
    • Energie
    • Services
  • Nation
    • Education
    • Politique
    • Société
    • Régions
    • Talents
    • Météos
  • Maghreb
  • Afrique
  • Monde
  • Culture
    • Arts
    • Livres
    • Médias
  • Bien-être
    • Santé
    • Sport
    • Style de vie
Vous avez un compte existant ? Sign In
Follow US
  • Advertise
Leconomiste Maghrebin > Blog > Economie > Environnement > COP26 : taxation des multinationales, une occasion manquée
Environnement

COP26 : taxation des multinationales, une occasion manquée

Nadia Dejoui
2021/11/13 at 1:14 PM
par Nadia Dejoui 4 Min Lecture
Partager
réchauffement climatique
Partager

Aujourd’hui, tout le monde parle de la COP 26. Il est important d’anticiper pour lutter contre le changement climatique. Car jusqu’à l’horizon 2050, le littoral sera sérieusement menacé. Tout l’enjeu c’est de voir comment la Tunisie pourrait mettre en place un cadre réglementaire afin d’obtenir les financements nécessaires pour atteindre le seuil de 30% d’énergies renouvelables d’ici 2030…

Alors que la conférence mondiale sur le climat (COP 26) touche à sa fin à Glasgow, l’ICRICT (Commission indépendante pour la réforme de la fiscalité internationale des entreprises)  insiste sur le fait qu’il ne sera pas possible d’obtenir un engagement mondial en faveur de l’élimination nette des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2050 sans mettre l’ensemble du système fiscal au service de la transition climatique.

Autrement dit, pour qu’il y ait du changement, il faut un plan d’action fiscal ambitieux et complet conçu pour réduire les émissions de carbone. Alors que les multinationales et les
plus riches de notre société ne paient pas leur juste part.
De ce fait, la carte mondiale de la pollution au carbone se confond parfaitement avec celle des inégalités économiques, tant au sein des pays qu’entre eux.

Selon les dernières données de l’ICRICT, les pays les plus riches (10%) de la population mondiale émettent près de 48 % des émissions mondiales. Ce qui signifie que les 1 % les plus riches produisent 17 % du total. Et, parallèlement, la moitié la plus pauvre de la population mondiale émet 12 % des émissions mondiales.
La question est alors de savoir comment aider les pays en développement. Telle est la grande question que tout le monde se pose. La réponse est claire : il faut des engagements financiers.

Il est à noter que l’accord fiscal mondial signé début octobre par 136 pays aurait pu
apporter une contribution importante à cet objectif. Cependant, après avoir opté pour un taux mondial minimum d’imposition des sociétés de seulement 15% et tout en accordant aux pays riches, les principaux bénéficiaires, des ressources fiscales supplémentaires,  le monde sera ainsi privé d’une source précieuse de financement dans la lutte contre le changement climatique.

Par ailleurs, une bonne partie des experts de l’environnement appellent à la mise en place de réformes. Si celles-ci avaient vu le jour, elles auraient pu générer plus de 250 milliards de dollars de recettes fiscales supplémentaires dans le monde, avec un taux d’imposition minimum de 21% – et ces recettes pourraient atteindre 500 milliards de dollars avec un taux de 25%, comme le préconise l’ICRICT. Ce qui ne générera que 150 milliards de
dollars avec un taux d’imposition de 15%, la part du lion de ces recettes supplémentaires devant revenir à un petit groupe de pays riches.

Rappelons qu’il y a 12 ans, lors du sommet des Nations unies sur le climat à Copenhague, les nations riches avaient promis de verser 100 milliards de dollars par an aux pays en développement jusqu’en 2020, afin de les aider à s’adapter au changement climatique. Cette promesse n’a pas été tenue.

Un accord fiscal mondial plus ambitieux aurait pu fournir des ressources permettant de respecter, voire de doubler, cette promesse.

Pour cela, il aurait fallu que les pays les plus riches ne s’alignent pas sur les intérêts des multinationales et des paradis fiscaux, mais sur ceux des citoyens du Nord comme du Sud.

Avec 4% des émissions mondiales, l’Afrique a très peu contribué au réchauffement climatique.

Articles en relation

COP29 : un financement annuel de 300 milliards de dollars pour lutter contre les changements climatiques

OMM : les concentrations de gaz à effet de serre ont atteint de nouveaux sommets en 2023

Juillet 2024 : un mois de records de chaleur historique

Bienvenue aux dernières précipitations, mais optimisme prudent chez les agriculteurs

« TunisiaLowCarbonEconomy 2024 », une première internationale en Tunisie

MARQUÉE: COP, COP26, Réchauffement climatique
Nadia Dejoui 13 novembre 2021
Partagez cet article
Facebook Twitter Whatsapp Whatsapp LinkedIn
Article précédent La loi de finances 2022 : La Tunisie n’a pas droit à l’erreur
Article suivant filière avicole La préservation de la filière avicole passe par l’utilisation d’aliments alternatifs produits localement (ONAGRI)
Laissez un commentaire

Laisser un commentaire Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

SUIVEZ-NOUS

Facebook Like
Twitter Follow
Youtube Subscribe

Adresse : 3, rue El Kewekibi 1002 Tunis – Tunisie
Tél : (+216) 71 790 773 / 71 792 499
Fax : 71 793 707 / 71 791 427
E-mail : contact@promedia.tn

SUIVEZ-NOUS

©2023 L’Économiste Maghrébin, All Rights Reserved

Removed from reading list

Undo
Content de te revoir!

Connectez-vous à votre compte

Lost your password?