La polémique enfle après la mort de Ridha Bouzayane,. Il s’agit de l’un des manifestants hospitalisés le 14 janvier à l’hôpital Habib Thameur et décédé hier. La question est de savoir s’il aurait subi des violences policières au moment de son arrestation.
Jamel Msallem, président de la Ligue tunisienne des droits de l’Homme (LTDH) fait savoir dans une déclaration sur les ondes de Shems fm, qu’il n’y avait pas de traces de violences visibles.
Il déclare que la mort de Ridha Bouzayane serait liée à un AVC, sachant que c’était un hypertendu.