Les ministères du Tourisme et de l’Environnement ont souligné la nécessité de trouver des solutions urgentes. Et ce, pour l’exploitation du domaine public maritime (DPM) dans les activités touristiques et l’éradication des points noirs et des décharges anarchiques dans les zones touristiques.
Ces recommandations ont été examinées lors d’une réunion commune tenue, jeudi, entre les ministres du Tourisme et de l’Artisanat et de l’Environnement.
La réunion a été axée sur les moyens de garantir une exploitation optimale du DPM, outre la situation environnementale dans les zones touristiques. Et ce, en prévision de la nouvelle saison touristique.
Les deux départements ministériels œuvreront aussi à organiser deux campagnes nationales. L’une pour la lutte contre les insecticides. La seconde concerne la propreté. Et ce, outre le programme de développement du tourisme écologique pour en faire un produit touristique.
La réunion a abouti à une recommandation. Celle-ci consiste à former une petite équipe de travail chargée de préparer des propositions techniques et juridiques. Et ce, en vue de développer et de réguler l’arsenal juridique organisant le domaine de l’exploitation du DPM.
Les données statistiques fournies jusqu’à la mi-2014 révèlent que le nombre d’agressions subies par le DPM a dépassé les 3000 infractions.
Les côtes tunisiennes représentent l’ensemble du DPM. Elles s’étendent sur 1320 km.
Avec TAP