La Ligue tunisienne des droits de l’Homme (LTDH) considère que ces membres et militants soient visés par les forces de l’ordre et l’institution judiciaire. C’est ce qu’on pourrait lire dans un communiqué rendu public, hier 18 février.
Dans ce contexte, la LTDH cite deux exemples. Elle rappelle que Hamza Nasri, vice-président de la section de Bab Bhar, Tokia Chebbi, membre du bureau exécutif de la LTDH et de Khaled Boujemaa, trésorier de la section de Bizerte ont été victime de verdict prononcés à leur encontre. La Ligue souligne les répercussions négatives de l’instrumentalisation de la justice et des forces de l’ordre dans la scène politique.
La ligue dans exprimé son soutien inconditionné à tous les mouvements sociaux dont l’objectif est de mettre fin et dévoiler toute la vérité au sujet de la corruption et des assassinats politiques.