Le Fonds monétaire international (FMI) discutera avec des pays comme le Sri Lanka, l’Égypte et la Tunisie. Et ce, afin de prendre des mesures pour les aider. Alors que le resserrement des conditions financières augmente le coût du service de la dette. C’est ce qu’affirme la directrice du FMI, Kristalina Georgieva, lors d’une interview accordée hier, 14 avril à Bloomberg.
Pour elle, ce qui est intéressant c’est que « nous notons ces dettes et nous les traçons. Nous nous concentrons sur les pays qui ont besoin de restructurer leurs dettes », étaye-t-elle.
Mais, « nous devons faire pression pour la restructuration des dettes », lance-t-elle.