Le Croissant sportif de la Chebba a réclamé, aujourd’hui 25 avril 2022, la suspension de la deuxième phase du championnat de la Ligue 1 du football professionnel (Play-off et play-out). Et ce, jusqu’à l’examen de l’appel qu’elle avait interjeté.
Cette demande intervient suite à la décision de la Ligue nationale du football professionnel (LNFP) de valider le résultat acquis sur le terrain pour le match Club Africain-CS Chebba (1-0), disputé le 13 avril à Radès.
Lors d’une conférence de presse, le secrétaire général du CS Chebba, Mohamed Brahim a indiqué que l’évocation de son club s’était basée sur l’article 31. Ainsi que sur l’article 45 du code de discipline de la FTF.
En outre, il a assuré que « certains parties de la LNFP et de la FTF veulent avoir le CS Chebba en Ligue 2. Et ce, dans une total transgression de la loi ».
Il a également ajouté que le club à fait appel ce lundi pour le réexamen de son évocation. Tout en soulignant que le dossier prendra une nouvelle tournure chez le tribunal arbitral du sport (TAS).
De son côté, le vice-président Saber Bouatay a déclaré qu’une suite favorable au dossier par le TAS aura des répercussions néfastes. Et ce, sur le play-off et le play-out.
« il y a la possibilité de rejouer le championnat dans son intégralité si le Club africain est sacré avec un point d’écart », a-t-il indiqué.
Il est à noter que le CS Chebba contestait la présence du président du Club Africain, Youssef El Almi, sur l’aire du jeu au cours du match comptant pour la 14e et dernière journée de la première phase de la Ligue 1.
Avec TAP