Le mot burn out est un mot qu’on entend un peu partout dans le monde du travail, depuis les cinq dernières années. D’ailleurs, on se demande s’il s’agit d’un syndrome passager ou qui évolue dans le temps.
Cela dit, le terme burn out ou épuisement professionnel est un mélange d’anxiété, de confusion et de dépression. C’est du moins ainsi que les experts en psychothérapie le diagnostiquent. Cela dit, on s’interroge sur ce mal-être. Comment le distingue-t-on ?
Les signes ne se trompent pas. Tout d’abord, l’envie de ne plus aller au travail fait partie des premiers signes avant-coureurs. Car le lieu devient de plus en plus toxique. D’ailleurs, la différence en dehors du travail est notable. Puisque la personne va mieux. Cependant, il suffit d’un coup de téléphone ou de se rapprocher de son lieu de travail pour que les symptômes reprennent.
Mais pourquoi parle-t-on du Burn out aujourd’hui ?
Puis, il y a ce qu’on appelle l’hypersensibilité de la personne qui la conduit à un état d’anxiété difficile. Et donc elle devient plus sujette au burn-out. Un lundi qui devient de plus en plus difficile. Car il serait donc lié à des troubles du sommeil, un état d’épuisement et d’irritabilité, voire même des symptômes de distraction, ou encore des problèmes de mémoire et de structuration. Ce qui veut dire une moins grande efficacité au travail… On ajoute des heures en plus … Et c’est un cercle vicieux sans fin.
Plus encore, il arrive de souffrir de dépassement social et cela aura un impact sur ses relations avec les autres, que ce soit au travail ou dans la vie privée.
Ensuite, il y a aussi des symptômes physiologiques (hypertension artérielle, perte ou prise de poids, troubles du sommeil ). Ce sont finalement des réveils anxieux durant la nuit ou trop tôt le matin.
Au final, le mieux c’est de relativiser et faire des exercices. Cela peut être une des solutions.