Noureddine Taboubi, le secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT), a mis l’accent sur la nécessité de soutenir l’action syndicale. Et ce, dans le secteur privé dont les travailleurs se trouvent confrontés à plusieurs difficultés dues à la non-reconnaissance du travail syndical au sein de certaines entreprises.
Noureddine Taboubi a souligné la nécessite de s’adapter aux changements qui se produisent dans le monde pour améliorer la productivité et le rendement des entreprises et pour préserver les postes d’emploi. Et ce, lors de la clôture d’un atelier de travail sur le dialogue social avec les entreprises multinationales du réseau syndical régional du textile, de l’habillement et du cuir et du réseau syndical régional Landitex, qui se tient du 20 au 24 septembre à Hammamet.
L’importance du dialogue social
Par ailleurs, le secrétaire général de l’UGTT a souligné l’importance du travail réalisé par la fédération générale du textile, de l’habillement et du cuir. Et ce, dans le renforcement de la formation de nouveaux dirigeants syndicaux capables de défendre les droits des travailleurs ainsi que les efforts déployés par le réseau syndical régional Landitex dans la défense et la formation des travailleurs et pour son souci de promouvoir l’action syndicale et l’éducation ouvrière.
Pour sa part, le secrétaire général de la fédération générale du textile, de l’habillement, du cuir et de la chaussure, Habib Hazami, a souligné l’importance du dialogue social pour faire face aux défis et pour réaliser la justice entre les groupes sociaux.
Au cours de cet atelier, des rapports étaient présentés par des responsables du Maroc, de Tunisie, d’Égypte et de Jordanie sur la réalité de la santé, de la sécurité professionnelle et de la protection sociale au travail dans le secteur textile, en plus d’une étude présentée par l’expert Kamal Omran sur la sécurité sociale au Maroc et en Tunisie.
Avec TAP