Rarement un chroniqueur a autant fait l’unanimité contre lui comme a réussi à le faire Riadh Jrad sur une chaîne de télévision de la place !
A chaque participation, il s’illustre, tristement, par ses prises de positions et ses affirmations gratuites consistant à insulter, dénigrer et accuser ceux qui s’opposent à ses idées et à ses desideratas.
Grâce à son statut de « chroniqueur », Riadh Jrad, ancien gauchiste militant à l’Union générale des étudiants de Tunisie (UGET), en a profité pour « taper » sur les politiciens et autres membres de la société civile du tissu associatif tout en faisant semblant de s’attaquer aux islamistes, à Ennahdha afin de s’attirer les sympathies du commun des citoyens et de l’opinion publique.
Ce jeune, qui a reçu l’appui de certaines personnalités au passé militant progressiste dont l’imprévisible Maya Ksouri, n’hésite pas à user d’un langage d’une arrogance extrême vis-à-vis de certains invités dont des sommités, politiques, juridiques, économiques et financières.
Riadh Jrad est le seul à disposer d’une « carte blanche »pour empêcher ses adversaires de s’exprimer puisqu’il est le seul à pouvoir tenir toute une tirade face à l’animatrice qui fait semblant d’être neutre et de lui couper la parole alors qu’en réalité elle le laisse débiter son monologue, généralement plus long que le temps alloué aux différents invités.
D’ailleurs, rien qu’à lire les réactions, on s’aperçoit que leurs auteurs sont dépités par cette manie d’imposer des « chroniqueurs incompétents » qu’on peut qualifier de « chargés de mission » en faveur du pouvoir en place ou de quelconque autre partie.
Bon à rappeler, enfin, que c’est Riadh Jrad qui a conféré la force médiatique à la fameuse thèse du courrier empoisonné destiné au Président de la République avant d’être confirmée par un communiqué rendu public par la page officielle Facebook de la présidence de la République et dont on attend encore le dénouement !…